Personne ne peut prétendre que les contes
Doivent s’écrire seulement une fois qu’on connait leurs lois.
En premier lieu, il n’y a pas de telles lois ;
Tout au plus peut-ont parler de points de vue,
De certaines constantes qui donnent une structure
A ce genre si peu étiquetable
Le conte contemporain se propose
Comme une machine infaillible destinée
A remplir sa mission narrative avec
La plus grande économie de moyens…
Le roman gagne toujours par points
Alors que le conte doit gagner par knockout.
Doivent s’écrire seulement une fois qu’on connait leurs lois.
En premier lieu, il n’y a pas de telles lois ;
Tout au plus peut-ont parler de points de vue,
De certaines constantes qui donnent une structure
A ce genre si peu étiquetable
Le conte contemporain se propose
Comme une machine infaillible destinée
A remplir sa mission narrative avec
La plus grande économie de moyens…
Le roman gagne toujours par points
Alors que le conte doit gagner par knockout.
Julio Cortázar
Nous avons Tinku (une rencontre) ce mardi 18 à 19h,
au siège de notre Réseau (Avenue Pérou n°416). Il y aura un échange littéraire
autour du lancement du livre « Le lutin du labyrinthe et autres
contes fondamentaux », le récent livre de notre compagnon Alfredo Mires
édité par le Réseau.
Le projet
LuArtica, d’Espagne, fera une représentation théâtrale de quelques-uns des
contes, et à la fin du lancement, nous partagerons notre joijona (la table traditionnelle de la campagne cajamarquine en
lien avec la terre).
Parlez-en
autour de vous. Vous êtes invités !

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